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Y


Au niveau GTX de la compréhension,
eh bien, voilà le moment de réflexion :

Tromatic !

Un Grand Prix décroche.
Peint en blanc, tout le salon,
brûlant, une après l’autre,
parfumé, fasciné...
L’apôtre !
de la vitesse,
enfermé
dans une caisse.

Je te X profondément.



Un préfixe
talismanique.
Que fait-il actuellement ?



Suis-je ironique ?

 

 

 

 

 

 

Y


Une idée, par essence idéale,
d’un pur esprit de terre,
s’infiltre dans l’espace accidenté
de la montagne.

N’avez-vous jamais vu ce qui accompagne l’existence ?
Jamais vu son champ ? La conscience ?

L’ennui, que ce champ, détermine ses propres racines :
Le sachant - s’hallucine ! Son existence est certaine !





Assis sur une branche de pommier,
un conseiller cérébral examine
avec une grande attention la situation :

Les idées changent.
La pollution croît.
La société évolue.
L’âge de l’univers n’est pas certain.

Dans le feuillage, un transistor rouge répand une musique douce et humide. Une pensée indépendante se libère avec un bruit métallique.
Le cérébral, toujours attentif, poursuit sa quête et explique.

La pensée, à peine visible, s’installe sur le conflit du triomphe et 
de la déroute, provoque la chute d’une pomme.

Dans un univers,
qui adore ce qui raisonne.

 

 

 

 

 



Y



« Il y a des trolls », j’ai lu dans l’Express. Mais, ma parole, je ne crois pas à la presse. Je ne suis pas de l’école qui frôle ce symbole. Les trolls, c’est un gage, une blague qui nous régresse et décontrôle.



Dans un laboratoire de physique universitaire
tout près de l’accélérateur planétaire,
tard la nuit de la lune élémentaire :
une transmutation aurifère
s’opère :

Prends deux quanta-vitriols,
vérifie si leurs auréoles 
ont des symboles,
et mets dans la casserole
encore trois proto-trolls
et un éther.

N’ajoute pas trop de temps,
huit décadents - max, et attends.
N’oublie pas une patte de paon,
attache à l’espace roux, la dent
de bémol et un croissant.

Appuie troisième bouton doux,
compte jusqu’au filtre tabou,
et regarde si coule...

Et puis dans le trou noire 
du pupitre de l’art caches-toi,
toutefois.



Et j’ai lu dans un journal « Que les trolls ... ... jouent un rôle. Que l’or fédéral ... et que ... bla, bla, bla ..e e ecetera. ».

 

 


Pe. eS :
( Je me désintrolle - frôlement trolle. C’est l’Agence PATROL-PRESS! qui met cet excès de paroles sous la presse. )

 

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